Saurez-vous résister à la compulsion du click?
Une recherche intéressante :)
bonjour
Longtemps j'ai pensé qu'un blog avait un caractère un peu nombriliste, pas loin du journal intime, et je me suis abstenue.
Et puis voilà que j'y viens, pour une simple question d'échange et de partage.
On y trouvera des liens utiles, mes coups de coeur, de la musique, des photos, des textes, tel coquillages cueillis sur les plages de toutes ces pages web que nous lions.
Ne seront pas exposées mes créations perso : quelques liens les entravent et vous préservent de leur effet en les contraignant à la réserve.
Il va de soi que ce blog ne sera pas nourri de façon acharnée par une création débordante, mais alimenté doucement, pas à pas, quand j'en aurai la possibilité.
Fraichement éclos, balbutiant, il en est au stade du signe...
@++
Et puis voilà que j'y viens, pour une simple question d'échange et de partage.
On y trouvera des liens utiles, mes coups de coeur, de la musique, des photos, des textes, tel coquillages cueillis sur les plages de toutes ces pages web que nous lions.
Ne seront pas exposées mes créations perso : quelques liens les entravent et vous préservent de leur effet en les contraignant à la réserve.
Il va de soi que ce blog ne sera pas nourri de façon acharnée par une création débordante, mais alimenté doucement, pas à pas, quand j'en aurai la possibilité.
Fraichement éclos, balbutiant, il en est au stade du signe...
@++
Dingue!!
Dans quel sens tourne-t-elle?
Eh bien, c'est hallucinant, elle peut tourner dans les deux sens!!
Source :
Selda Prey , qui renvoie elle-même à l’article original
Consommation encore
Un petit test en forme de questionnaire, qui délivre des résultats édifiants et impressionnants : âmes anxieuses s'abstenir!
CONSOMMATION, FACILITE, « TOUT POUR MA GUEULE », IGNORANCE, NON RESPECT, ET J’EN PASSE...
« kesk’elle dit l’autre excitée ? Surpopulation ? Pollution ? Non respect ? Ben oui, quoi, c’est normal ».
Ah, l’autre, en vacances... y croit qu’on vit comme ça !
Y a des jours, j’vous jure, j’aimerais être corse ! Je te les prendrais à coup de grenade, hop, dégagés... Mais non.
En PACA, tourisme oblige, il serait de mauvais ton que l’autochtone se permette de râler sur le clampin qui sillonne et salope plages, campagnes, torrents et montagnes. C’est le fond de commerce...
Et pourtant, au bout de deux mois à rester quasiment cloitré chez soi, tant la circulation (et ses pics de pollutions) est infernale, ça donne envie de l’ouvrir, quand, grâce aux congés payés, le résident de la région aimerait, lui aussi, gouter aux plaisirs simples du lieu où il vit.
Heureusement, il y a des endroits « secrets », que le touriste n’a pas encore découvert, ou qui requièrent de sa part un effort qu’il n’est pas en mesure de fournir. Des endroits déserts, que je me garderais bien d’indiquer...
Mais il y a aussi la côte. Et là, même à vous frapper deux heures de marche sous un cagnard infernal, ils sont inévitables, avec leurs embarcations de marins du dimanche, ancrés à un mètre de la côte, (quand ce n’est pas sur la minuscule plage), buvant le rosé du coin sans aucunement se protéger du soleil au zénith, hurlant des inepties, piaillant connement, en se tapant sur le ventre. De quoi leur souhaiter un vent d’ouest force 8 avec grosse houle, histoire de rigoler un peu. Et si on est très méchant, un cancer de la peau !
Partout, ils sont partout, avec leur moteur et leur arrogance, qui vous débarquent sur un bout de terre que des marcheurs ont rudement gagné. Et ça pue le diésel et les fonds massacrés. Les cannettes jetées et les sacs poubelles dans les posidonies. À peine sont-ils un peu moins pénibles que les jet-ski. Comme quoi sur la côte, vaut mieux emporter ses boules Quiess...
Bien sûr, l’autochtone a encore quelques ressources : après une quinzaine de kilomètres de marche dans les sentiers escarpés du littoral, il peut faire de la varappe et plonger dans une crique que barrent des rochers qui affleurent. Là, chaussé de ses lunettes aquatiques, il s’ébat dans des lieux enchanteurs où zonent quelques plats bateaux, dont les occupants nordiques sont occupés à lamper du pastis. Il peut nager, longeant la côte, vers un paradis de solitude (mais pas de calme, car le concert des moteurs est permanent.)
Certes, il sera encore troublé par quelques kayaks de mer, deux trois voiliers de petite envergure, quelques plongeurs : une broutille. (Notre autochtone présume que les plongeurs équipés de fusils, vu l’endroit où ils naviguent, sont des personnes avisées.)
Mais à la fin, le natif de PACA jette l’éponge : il se fait tard, il est loin de tout, mais toujours envahi, pollué, stressé, faut qu’il songe à rentrer ! Vivement septembre, octobre...
Sur le chemin du retour, il s’arrête sur une petite plage de rochers éboulés, difficile d’accès, mais pas très éloignée de la civilisation. « Gôuter le coucher du soleil, se dit-il, calmement, quand le gros des plaisanciers sera rentré... »
Mais là, il voit trois Marseillais débarquer avec Heineken, masque et tuba : visiblement, ils ne savent pas nager, ni plonger, mais ils veulent se faire quelques oursins en cette fin de soirée d’aout. Des Marseillais de troisième génération sans doute, ou des importés, même s’ils ont l’accent « Belle de Mai », car, primo, ils se soucient fort peu des dates de cueillette autorisées de la bête, deuxio, ils savent même pas distinguer un mâle d’une femelle, et enfin, comme déjà dit : ils barbotent. Et vas-y que je criaille et patauge avec des godillots, là où l’autochtone marche pieds nus avec précaution pour respecter la flore sous marine.
Ils ramassent quelques oursins, et un Bernard l’Hermite, qu’ils vont faire crever sur la plage, comme d’autres font mourir la soupe de roche qu’ils ont péchée, dans la forêt de chênes du sentier...
Assassins ! Bandes de cons. « Je trouve, je prends, on me doit tout et tout pour ma gueule, je réfléchis pas. » C’est leur crédo, à ces abrutis !
Une fois leur vacarme passé, il suffit de nager, tranquillement : les oursins sont là, à moins de deux mètres, merci mon dieu, ils sont trop cons pour plonger jusque-là. Leur ravage est limité.
Et passent les bateaux, pillent et polluent les vacanciers. La mer est bien bonne. Et la montagne aussi.
Venez pas en PACA, c’est pas beau, y a la sécheresse, les incendies, et les habitants font la gueule... Ils sont à chier je vous jure, et sur la route, vous feront pas de cadeaux. Et en plus y vont prendre vos thunes ! Des mafiosi, y allez pas, j’vous dis !
Ce soir, je vous écris de mon torrent, la pleine lune passe la barre des montagnes. Dès que le flot des touristes s’est tari, mon pays retrouve sa densité équivalente à celle du Sahel. C’est dire si j’aime ne pas être collée...
Jusqu’aux vacances d’hiver....
Il me reste le printemps et l’automne, ne viendez pas, les conditions climatiques sont désastreuses !
Ah bon sang demain la rentrée des classes : je revis, et je suis en vacances^^
L'oiseau troubadour

Il est pas mimi cet oiseau amoureux? N'hésitez pas à aller l'entendre en suivant le lien, (j'ai pas souhaité laissé le swf sur la page, à cause du son qui se lance à chaque ouverture, bref, je vous ai épargné..)
Marmite & Micro-onde
Le fanzine de l'imaginaire culinaire... Savoureux!
Pour vous donner une idée, voici un texte issu du n°9. Les numéros sont téléchargeables.
Marmite & Micro-onde n°9
Né en 1978, Joan Charmant suit des études d'informatique, et s’intéresse à l'intelligence artificielle et aux jeux
vidéos. Il est passionné par la science-fiction hard science... et par les Rubik's Cubes. Le texte qui suit est sa première publication.
o MANGE, ÇA FAIT GRANDIR ! – JOAN CHARMANT o
– Papa ! La soupe ! Elle dit bonjour !
Ce gosse est terrible. Il me bassine pour acheter des vermicelles alphabets, et tout ce qu'il trouve à faire, c'est de s'amuser avec. Enfin ! Si c’est le seul moyen pour qu’il mange…
– Papa ! Viens voir.
– Sylvain...
– Viens voir !
Il est de l'autre coté de la table. Je me lève. Effectivement, il a réorganisé les lettres de façon à former le mot ‘bonjour’. Etant donné qu’il a cinq ans et qu’il est encore en train d’apprendre à écrire, je décide que c’est plutôt pas mal.
– C'est bien, Sylvain. Maintenant, mange-les. Elles feront d'autres mots dans ton ventre.
Je retourne m'asseoir. J'en ai marre de la soupe de pâtes, mais je dois finir sinon c'est lui qui ne mangera rien.Je dégaine ma cuillère.
ne NoUs mAngEz PaS !
Hein ?
Je remue ma soupe, j’agite, je touille...Lentement, à mesure que freine le tourbillon, des lettres se regroupent, d'autres s'éloignent.
MeRCi
Puis, doucement, des pâtes qui étaient au bord se mettent à naviguer vers le centre. L’assiette redevient un chaos de petites lettres beiges jaunes. J’insère doucement ma cuillère.
S il vOu PLaiT
Je commence à paniquer. J’ai envie d’en bouffer une demi-douzaine, juste pour voir, mais je me retiens.Point positif, Sylvain se goinfre comme si de rien n’était. Un doute me prend : est-il en train de commettre un génocide ?
Je me penche à nouveau sur mon assiette. Puis-je communiquer avec elles ? Je tente d’organiser les lettres, je remonte les noyées, je trie les flottantes. Il m’en manque. De toute façon, j’ai toujours été nul au Scrabble. Je fais de mon mieux, et trois minutes et quelques flaques sur la nappe plus tard, j’ai réussi à former une phrase :
ComMent eSt ce pOssiBl
Rien ne se passe. Les ai-je tuées ? Je me ressers, je n’ai pas assez de lettres pour tenir un discours cohérent. Il me faut des chiffres aussi, où sont ils ?
En attendant, je m’applique à savourer des cuillerées vides pour éviter d’attirer l’attention du gamin.Si jamais il me surprend en train de m’amuser avec ça, c’est la fin.Je commence à échafauder des hypothèses sur le phénomène.
Les pâtes se seraient-elles ouvertes à la conscience ? Peu probable.
Est-ce une manifestation évolutive ? Les pâtes se regroupant en mots auraient moins de chance d’être mangées, puisqu’elles nous intriguent ? Cela n’expliquerait pas ces mots précis, d’un à-propos plus que providentiel. Et puis, les pâtes ne sont pas des êtres vivants. Quoi qu’il en soit, elles auraient dû mourir à la cuisson. Alors quoi?
Ca y est, le miracle refait surface. Des groupes se forment, se mélangent, s’organisent. Une réponse ?
cE n EsT Pas PoSsibLE
De mieux en mieux... Sylvain a fini son assiette, il en reprend, l’assassin. Serait-ce un message ? Un appel à l’aide d’une entité coincée quelque part dont le seul moyen de communication serait la possibilité de contrôler l’organisation spatiale de bouts de nouilles ? Je préfère ne pas y penser.
Je finis par avoir faim, il va falloir que je commette un sacrifice. Un troupeau de ‘e’ me semble assez raisonnable. Cependant, le temps de les sélectionner, ils se rétractent, se cachent derrière les autres, se réfugient au fond.Et puis quoi encore ? Commencent à me chauffer, ceux-là... Je me retiens de les pêcher à la main, pour ne pas donner d’idées au petit. Je me vois en train de tremper les doigts dans la soupe... J’en ai tellement envie. Elles bougent encore.
MecHAnT
Je suffoque. Qui fait la loi, ici ?
Sylvain me fixe. Il a dû s’apercevoir que je suis penché, mon nez est prêt à faire mouillette. Je le regarde, je souris de mon mieux. J’ai l’air très con.
– T’as fini ta soupe ?
C’est surtout pour changer de sujet que je lui pose la question. Avant qu’il n’ait le temps de parler.
– Tu fais quoi, papa ?
Perdu. Je vais devoir être fort sur le bobard. Surtout ne pas lui donner de justification pour son prochain jeu alimentaire idiot.
– Je... Ne t’inquiète pas, fiston, je t’expliquerai. Tu peux passer au dessert si tu n’en veux plus.
(Là j’ai tapé un grand coup. Le dessert ayant été la principale motivation pour venir à table, grâce à d’appétissantes barres glacées au chocolat.)
Je retourne à ma soupe alphabète. Elles ont l’air plus nombreuses en surface. Des ‘i’ sont remontés. Je m’attends à un message. J’ignore pourquoi mais je sens que ce sera une révélation. Un communiqué officiel.
oUi MaiS dEs pAnZaNi
J’en ai vraiment marre de toutes ces pubs.Je bois tout ça d’un gloup.
Pour vous donner une idée, voici un texte issu du n°9. Les numéros sont téléchargeables.
Marmite & Micro-onde n°9
Né en 1978, Joan Charmant suit des études d'informatique, et s’intéresse à l'intelligence artificielle et aux jeux
vidéos. Il est passionné par la science-fiction hard science... et par les Rubik's Cubes. Le texte qui suit est sa première publication.
o MANGE, ÇA FAIT GRANDIR ! – JOAN CHARMANT o
– Papa ! La soupe ! Elle dit bonjour !
Ce gosse est terrible. Il me bassine pour acheter des vermicelles alphabets, et tout ce qu'il trouve à faire, c'est de s'amuser avec. Enfin ! Si c’est le seul moyen pour qu’il mange…
– Papa ! Viens voir.
– Sylvain...
– Viens voir !
Il est de l'autre coté de la table. Je me lève. Effectivement, il a réorganisé les lettres de façon à former le mot ‘bonjour’. Etant donné qu’il a cinq ans et qu’il est encore en train d’apprendre à écrire, je décide que c’est plutôt pas mal.
– C'est bien, Sylvain. Maintenant, mange-les. Elles feront d'autres mots dans ton ventre.
Je retourne m'asseoir. J'en ai marre de la soupe de pâtes, mais je dois finir sinon c'est lui qui ne mangera rien.Je dégaine ma cuillère.
ne NoUs mAngEz PaS !
Hein ?
Je remue ma soupe, j’agite, je touille...Lentement, à mesure que freine le tourbillon, des lettres se regroupent, d'autres s'éloignent.
MeRCi
Puis, doucement, des pâtes qui étaient au bord se mettent à naviguer vers le centre. L’assiette redevient un chaos de petites lettres beiges jaunes. J’insère doucement ma cuillère.
S il vOu PLaiT
Je commence à paniquer. J’ai envie d’en bouffer une demi-douzaine, juste pour voir, mais je me retiens.Point positif, Sylvain se goinfre comme si de rien n’était. Un doute me prend : est-il en train de commettre un génocide ?
Je me penche à nouveau sur mon assiette. Puis-je communiquer avec elles ? Je tente d’organiser les lettres, je remonte les noyées, je trie les flottantes. Il m’en manque. De toute façon, j’ai toujours été nul au Scrabble. Je fais de mon mieux, et trois minutes et quelques flaques sur la nappe plus tard, j’ai réussi à former une phrase :
ComMent eSt ce pOssiBl
Rien ne se passe. Les ai-je tuées ? Je me ressers, je n’ai pas assez de lettres pour tenir un discours cohérent. Il me faut des chiffres aussi, où sont ils ?
En attendant, je m’applique à savourer des cuillerées vides pour éviter d’attirer l’attention du gamin.Si jamais il me surprend en train de m’amuser avec ça, c’est la fin.Je commence à échafauder des hypothèses sur le phénomène.
Les pâtes se seraient-elles ouvertes à la conscience ? Peu probable.
Est-ce une manifestation évolutive ? Les pâtes se regroupant en mots auraient moins de chance d’être mangées, puisqu’elles nous intriguent ? Cela n’expliquerait pas ces mots précis, d’un à-propos plus que providentiel. Et puis, les pâtes ne sont pas des êtres vivants. Quoi qu’il en soit, elles auraient dû mourir à la cuisson. Alors quoi?
Ca y est, le miracle refait surface. Des groupes se forment, se mélangent, s’organisent. Une réponse ?
cE n EsT Pas PoSsibLE
De mieux en mieux... Sylvain a fini son assiette, il en reprend, l’assassin. Serait-ce un message ? Un appel à l’aide d’une entité coincée quelque part dont le seul moyen de communication serait la possibilité de contrôler l’organisation spatiale de bouts de nouilles ? Je préfère ne pas y penser.
Je finis par avoir faim, il va falloir que je commette un sacrifice. Un troupeau de ‘e’ me semble assez raisonnable. Cependant, le temps de les sélectionner, ils se rétractent, se cachent derrière les autres, se réfugient au fond.Et puis quoi encore ? Commencent à me chauffer, ceux-là... Je me retiens de les pêcher à la main, pour ne pas donner d’idées au petit. Je me vois en train de tremper les doigts dans la soupe... J’en ai tellement envie. Elles bougent encore.
MecHAnT
Je suffoque. Qui fait la loi, ici ?
Sylvain me fixe. Il a dû s’apercevoir que je suis penché, mon nez est prêt à faire mouillette. Je le regarde, je souris de mon mieux. J’ai l’air très con.
– T’as fini ta soupe ?
C’est surtout pour changer de sujet que je lui pose la question. Avant qu’il n’ait le temps de parler.
– Tu fais quoi, papa ?
Perdu. Je vais devoir être fort sur le bobard. Surtout ne pas lui donner de justification pour son prochain jeu alimentaire idiot.
– Je... Ne t’inquiète pas, fiston, je t’expliquerai. Tu peux passer au dessert si tu n’en veux plus.
(Là j’ai tapé un grand coup. Le dessert ayant été la principale motivation pour venir à table, grâce à d’appétissantes barres glacées au chocolat.)
Je retourne à ma soupe alphabète. Elles ont l’air plus nombreuses en surface. Des ‘i’ sont remontés. Je m’attends à un message. J’ignore pourquoi mais je sens que ce sera une révélation. Un communiqué officiel.
oUi MaiS dEs pAnZaNi
J’en ai vraiment marre de toutes ces pubs.Je bois tout ça d’un gloup.
The sky has no limits...
A photograph is not only an image (as a painting is an image), an interpretation of the real; it is also a trace, something directly stenciled off the real, like a footprint or a death mask.
Susan Sontag luisa_m_c_m_cruz
Les playlists
Je fais un petit blabla histoire que vous puissiez ajouter des commentaires si l'envie vous prend. Voilà. Si j'ai déposé cette musique ici, c'est parce que je l'apprécie, ça va de soi, hein! Donc sur le côté, là, à droite : des playlists variées concoctées avec des morceaux de plusieurs artistes.
Et dans le corps du texte, des playlists par artiste.
Un superbe voyage avec SaReGaMa - Instrumental Works
The Abogix (J.K.) - Friends
Des paysages d’Afrique défilent sur l’écran. À chaque clic, l’ouverture d’une nouvelle fenêtre : autre monde qui glisse sur un quai d’aéroport, multitudes de voyages syncopés, en accéléré, melting-pot de musiques et de cultures. Respire, ciel, chants d’oiseaux, souffle du vent, balade dans un creux de nature, autres temps mixés par le kaléidoscope d’Abogix.
On est partout, en tous lieux et en tous temps. Multiples états d’âme, diversité des langages, Babel des pistes qui s'unissent sous fond d'ambiance jazz rock "dans un language sans frontière"(c.f.Melchiades. C'est beau.
Applause !
Et dans le corps du texte, des playlists par artiste.
Un superbe voyage avec SaReGaMa - Instrumental Works
The Abogix (J.K.) - Friends
Des paysages d’Afrique défilent sur l’écran. À chaque clic, l’ouverture d’une nouvelle fenêtre : autre monde qui glisse sur un quai d’aéroport, multitudes de voyages syncopés, en accéléré, melting-pot de musiques et de cultures. Respire, ciel, chants d’oiseaux, souffle du vent, balade dans un creux de nature, autres temps mixés par le kaléidoscope d’Abogix.
On est partout, en tous lieux et en tous temps. Multiples états d’âme, diversité des langages, Babel des pistes qui s'unissent sous fond d'ambiance jazz rock "dans un language sans frontière"(c.f.Melchiades. C'est beau.
Applause !
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